Bouli en Solo
« BOULI » EN SOLO
L'Auguste « Bouli », par ses interventions, ponctue régulièrement le spectacle. Par ses intermèdes brefs et distractifs, il détourne en partie l'attention du spectateur pendant les déménagements et réaménagements de matériels sur la piste ou la scène, ou durant l'installation des agrès nécessaires entre deux numéros différents.
Par le
Ses clowneries sont choisies en fonction du public au sein duquel il évolue, pour faire patienter ou lier ce qui suit au programme.
« LA MAGIE DES DOIGTS »
Introduit en musique, cet énième remake de la prestidigitation bidon apparaît comme une farce qui se solde quand même par une apparition.
« GUITARISTE COMME… »
« Bouli » guitariste ? Tout le laisse supposer. Seul hic ! Une erreur de machination dévoile le pot aux roses.
« DIGUE DINGUE DONG »
A tour de rôle, 3 spectateurs doivent chacun extraire un papier d'un chapeau haut-de-forme et lire à haute voix le mot inscrit. « Bouli », en maître de la situation , s'efforce de coordonner l'ordre afin de parvenir à entendre distinctement les sons « Digue, Dingue, Dong » et présenter « Les 3 cloches ».
« SEL AN TRACTE »
Charade annonçant l'entracte.
« LE BLUES DU PRISONNIER »
Après sa révérence au public suivie de son installation, l'improvisé guitariste « Bouli » annonce une œuvre de sa composition : « Le Blues du prisonnier » ; très vite abrégée par le frottement du médiator sur la corde la plus épaisse de l'instrument qui, ainsi, imite une lame de scie sur les barreaux d'une geôle.
« SUR UN NUAGE »
« Bouli », vêtu en ballerine, tel un petit rat de l'Opéra, tient un nuage confectionné. Il sillonne les allées avant de se trouver indélicatement nez à nez avec Monsieur Loyal qui finit par l'expulser. Sans grand succès, puisqu'il réapparaît, la bouche gorgée d'eau qu'il recrache par saccades successives en parodiant la pluie.
« LA BETE »
« Bouli » explorateur traque une bête qui, par les bruitages dans son environnement naturel, semble semer la terreur. D'hésitations de frayeurs en sueurs froides, il se résout à donner le maximum de lui-même en tirant l'interminable corde à laquelle s'oppose la résistance de l'animal que l'on imagine énorme…
« ON NE PECHE PAS ICI »
Par un scénario répétitif, « Bouli » s'apprête à pêcher tranquillement dans une eau verglacée quand une voix non localisée clame l'interdiction de pratiquer ce genre de loisirs en ce lieu ; et pour cause… c'est la patinoire !