Kingstar Concept

Johnny Kingstar : Auteur Compositeur

JOHNNY KINGSTAR : AUTEUR COMPOSITEUR


« JOHNNY KINGSTAR : AUTEUR COMPOSITEUR »   depuis 1983

JOHNNY KINGSTAR ou plutôt le petit « Yannick » éprouve un don pour la musique dès son plus jeune âge.
A 14 ans
il griffonne ses premiers textes improvisés sur des musiques qu'il compose de tête.
Aujourd'hui, il ne reste plus aucune trace de cette période mélomane en herbe , sauf le souvenir des formes globales de ces chansons.
Mais à la sortie de l'adolescence, comme une maladie difficilement curable que l'on croit guérie mais qui revient par surprise, il se remet de temps en temps à l'écriture lorsqu'il ressent le besoin d'exprimer des sentiments tirés de faits d'actualités où tout simplement du cours de sa vie.
En 1981, il fait une adaptation française de « Sag Warum » de Camillo, qu'il intitule « Je me demande pourquoi ». L'année suivante, il récidive avec « Carried away » d'Olivia Newton John qui devient « Transporté ». Puis cet éternel autodidacte continue de faire des textes sans musique sur des sujets pas très nobles…


Il faut attendre 1983 pour qu'il se révèle artistiquement dans ce domaine.
Parodies ou originales
, ses chansons comme « Le Pot'je Vleesh » ou « Les Conquêtes d'un Carnavaleux Dunkerquois Amoureux » mettent le feu à la fête par un répertoire joyeux et entraînant, ou alors elles expriment sa sensibilité avec talent mais hélas sans le moindre succès (« Ma propre Idole » et « Peggy »).
Sans se décourager pour autant,
il  s'optimise en continuant de jongler avec l'ambiance et la nostalgie dont principalement un air avec reprises en chœur qui met  à l'honneur le géant symbolisant la Ville de Bergues en Flandre Maritime Française (« Connaissez-vous l'Electeur de Lamartine »).
Durant la seconde moitié de cette décennie, son répertoire mitigé n'évolue guère. Beaucoup de reprises de succès planétaires sont transposées à sa façon dans la langue de Molière.« Tu es toujours dans mes pensées » (en 1985) n'est autre que la ballade country « Always on my mind » d'Elvis Presley et de Willie Nelson. Quant à « Nikita » d'Elton John, elle a trouvée son « French » traducteur (1986).
Par contre, point de vue compositions, ça pullule :
« Le Parrain d'Hélène » (1986), « Voyage sans retour au pays des anges » en hommage à Claude François (1987), « Te revoir », « Si tu revenais », « Une de perdue, dix de trouvées » en 1988.
« Animateur » en 1990, « Allumeuse » en 1992 ainsi que ses monologues « Pleurer et faire rire » (1988), et « Voyageur » (1991)  qui se récitent sur fonds musicaux, sont tous des « flops ».


A Paris en 1991, appuyé par un producteur rencontré à Sète,  il enregistre sans but commercial précis « Qu'on est bien en Vacances ! » ; un hymne humoristique à la période estivale qu'il a écrit en 1988. Bien que ce titre captive et incite à taper dans les mains,  à ce jour, il n'est resté qu'au stade de maquette classée sans suite.


Au hasard de la vie, en Corse en 1993, il fait la connaissance d'Alain Frétille, un musicien qui exploite un studio d'enregistrement à Pantin,  jadis fréquenté par Alain Bashung sur les bancs d'essais bien avant « Gaby Oh Gaby ! »
Au détour d'un séjour en Ile-de-France
, JOHNNY KINGSTAR s'y rend pour une simple visite amicale. Sur place  pour s'amuser, il fredonne « L'Aventure », une œuvre personnelle et émotionnelle composée en 1991 et laissée dans un tiroir. Pris au jeu, il se laisse emporter. Dès lors, cette « aventure » va prendre des proportions jusqu'à l'aboutissement du tirage en quantité d'une cassette audio 2 titres peaufinée avec une nouvelle version de « J'ai peur, je t'aime » empruntée à Johnny Hallyday. Déposé légalement en 1994 sous la référence « KJSP 001 », ce produit arrivé à expiration n'est plus disponible.


Beaucoup se souviennent encore aujourd'hui des « Masqueloures » (1988) et du « Bistrot de la chaise qui craque » (1991 – sur une Polka de la Fête de la Bière) immortalisés sur le CD « Y'a pas qu' les Prout qui chantent » en 1993 ; tout comme la devenue célèbre « Visschersbende » sortie sur le CD « Bein Qu'est ça dit » en 1996 avec « La Rue des m'tites jupes » et « Si tous les veint'ches mettaient les culottes des moudres », encore harmonisés dans les bals et les « bandes » pendant le Carnaval Dunkerquois.
Depuis, beaucoup d'autres chansons du même style ont été créées.


Finalement, mine de rien, pendant toutes ces années, JOHNNY KINGSTAR s'est énormément fait plaisir à écrire toutes ces chansons, certes majoritairement inconnues du public. Mais au fait, est-ce que lui les connaît toutes réellement ?



Voir aussi à « PARODIES A LA SAUCE DUNKERQUOISE » dans les « Articles
 » de ce blog.



14/10/2007
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